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Affichage des articles associés au libellé covid 19

Une crise salutaire

Le virus Covid, je n'aime pas dire LA covid qui féminise encore une calamité, a des conséquences individuelles parfois tragique. Mais au plan collectif, il pourrait bien déclencher des révolutions salutaires. "Nous sommes en guerre". Contre qui ? En France on réunit un "Conseil de défense" à cause de cette "guerre". C'est donc qu'il y a un ennemi qui nous a balancé le Covid. Une sacrée force de frappe particulièrement anonyme et hypocrite ! L’Élysée a ainsi d'emblée crédibilisé les théories complotistes à cause de ce "Conseil de défense" si mal nommé pour une crise sanitaire. A-t-on défini un ennemi, c'est à dire un groupe de personnes, voire un pays à combattre ? En réalité, nous sommes à nouveau face à une maladie qui dépasse les connaissances médicales. Pour l'instant. Comme avant les antibiotiques. On n'a pas trop de recettes contre les virus, à part le vaccin qui offre une protection partielle et je n&

Covid : Une société à deux intelligences ?

L'article titré "Passe sanitaire : « Nous sommes en train de créer une société à deux vitesses » "[1] a reçu en premier commentaire une citation d'Aldous Huxley sur la dictature parfaite. «La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader. Un système d’esclavage ou, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur serv

Incohérence de la rigidité de certaines lois en période de pandémie

Une personne ayant un traitement contre l'hypertension doit renouveler son médicament dans cette période d'épidémie - incohérence par télescopage d'exigences Une personne ayant un traitement permanent contre l'hypertension devait renouveler récemment son médicament prescrit pour trois mois en décembre 2019. Elle devait pour cela aller chez le médecin en cette période de confinement. D'un commun accord le médecin et la personne ont décidé par téléphone d'éviter la consultation, le médecin expliquant que le médicament peut être prolongé par le pharmacien. Arrivé chez le pharmacien, queue dehors, les personnes sont espacées de trois mètres. Très bien. Lorsque arrive son tour la personne explique son cas. Le pharmacien lui donne un traitement pour un mois. La personne s'étonne de ne pas avoir son traitement pour trois mois comme d'habitude, mais le pharmacien lui répond que c'est la loi. Résultat cette person