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Affichage des articles du janvier, 2023

Les réseaux de Poutine en France ?

 Je "retweete" ou plutôt je "remediaparte" cet article où l'officier Guillaume Ancel rappelle des faits concernant les poutinophiles français, faits qui devraient nous alerter. Je trouve intéressant cet article de GA qui rappelle certaines prises de position assez significatives. Le cas du général démissionné est moins évident, " Cette guerre n'est pas la notre " exprime plus un manque de lucidité sur la réalité de cette guerre en Ukraine à nos portes qu'un véritable soutien au dirigeant russe. Mais vu la fin de l'article, l'implication du seigneur du "puy du fou", son frère, avec le Kremlin, montre le conflit d'intérêt stupéfiant qui se cache derrière cette position, un puits sans fond ! " la politique ne m'inspire que du dégout " ajoute Philippe de Villier... c'est très pertinent avec de tels comportements. On appelle cela des "valeurs actuelles" !!! P

Un présumé génocidaire rwandais complète le puzzle de l'implication française

L'actualité récente a rappelé la présence en France d'un présumé génocidaire, ancien chef du renseignement militaire rwandais pendant le génocide des Tutsi à cause d'une plainte qu'il a déposée pour injure. Sa présence en France et cette démarche judiciaire soulèvent beaucoup de questions. Vous trouverez mes sources dans les articles auxquelles les notes renvoien t Considérez un présumé génocidaire, ancien colonel, commandant de la gendarmerie rwandaise à Kigali puis chef du renseignement militaire des Forces armées rwandaises (FAR) du régime génocidaire rwandais, recherché initialement par le Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR), fondateur en République démocratique du Congo (RDC) des sulfureuses Forces démocratique de libération du Rwanda (FDLR) (alluvions des génocidaires rwandais qui importèrent les méthodes génocidaires dans le Kivu au Congo), signalé ensuite comme se planquant en Afrique, ou mort, puis, souda

Une journaliste de Libération poursuivie par un "présumé" génocidaire

Maria Malagardis ira au tribunal de Paris jeudi 19 janvier. Elle devra répondre d'injure à l'encontre d'Aloys Ntiwiragabo ancien chef du renseignement militaire rwandais du régime génocidaire Hutu. Theo Englebert avait découvert sa planque en 2020 et publié un article à ce sujet. Maria Malagardis a osé parler de "nazi Africain", odieux aux oreilles de quelqu'un qui se pense encore digne. Le comportement de la justice française, qui ne traîne pas pour faire aboutir les procédures contre ceux qui cherchent à ce que les vérités sur le génocide des Tutsi soient établies, mais au contraire met parfois plus de 20 ans pour juger les présumés génocidaires, et surtout évite que les présumés complices français soient  poursuivis, est profondément abjecte et scandaleux, ignoble même. Nos procureurs se portent pâles dès qu'il s'agit d'affaires compromettantes pour des responsables français. Sommes-nous en démocratie ou

Retraites : mon coup de gueule contre ma génération !

Un retraité, qui continue de travailler alors qu’il touche une allocation de retraite en-dessous du minimum vieillesse, devrait avoir ses nouvelles cotisations de retraite décomptées jusqu’à la cessation définitive de son activité. Cela lui permettrait de toucher alors un sur-complément de retraite en conséquence. C'est une question de justice. Je voudrais vous parler d’une situation que je fais mienne aujourd’hui. Par cette situation, voilà ce que je vois de ma lucarne. Si la longueur de ce texte vous décourage vous pouvez vous contenter du chapeau de cet article. Un ami très proche, de ma génération, a touché très exactement 749 € de retraite par mois en 2022. Il a pris sa retraite le 1 janvier 2022, à presque 72 ans. A 73 ans bientôt, il continue de travailler comme auto-entrepreneur. Il a dégagé environ 12000 € de revenus brut en 2022. Cela peut être plus selon les années. Il a donc compris qu’il ne peut pas prétendre au minimum retrait

A propos du rapport de l'ONU qui accuse le Rwanda au Congo

La façon dont les médias français ont rendu compte du "rapport d'un groupe d'experts" de l'ONU sur la crise au Congo, symbolisée par le "M23" mis en exergue, est particulièrement partielle et partiale. La lecture du résumé introductif du rapport permet de s'en rendre compte. Je tente d'autre part de contextualiser ces événements et de faire sentir les oublis historiques.  Avant de lire ma contextualisation, il convient de lire intégralement le résumé introductif du rapport du groupe d'expert. Résumé introductif intégral du rapport 1 "Au cours de la période considérée, l’est de la République démocratique du Congo a été le théâtre d’épisodes d’une intense violence. Le Groupe d’experts a suivi avec préoccupation l’escalade de la violence également dans le territoire de Kwamouth, dans la province du Maï-Ndombe, dans l’ouest du pays, où un conflit intercommunautaire oppose depuis mai 2022 principalement des membres des communautés teke