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Tribune d'Ibuka, du CPCR et de Survie

Trois associations publient ce communiqué : Ibuka (associations de rescapés du génocide des Tutsi) , Survie et le CPCR (Collectif des Parties civiles pour le Rwanda) Vingt-huit ans après le génocide des Tutsis commémoré ce jeudi 7 avril, trois associations alertent sur le silence persistant autour du soutien des institutions françaises aux Hutus, des zones d’ombres que ni la justice ni le rapport Duclert n’ont encore dissipées. publié le 7 avril 2022 ( trouvé dans Libération , d'où les renvois à des articles de Libé) «Que faut-il attendre de plus ?» demandions-nous il y a quatre ans au président de la République, en rappelant que la gravité des éléments déjà connus du rôle de la France au Rwanda devait amener à «une ouverture complète et non filtrée de toutes les archives». L’année suivante, un quart de siècle après leur extermination méthodique et planifiée, Emmanuel Macron a reconnu officiellement le génocide des Tutsis du Rwanda, f

Rwanda : Non lieu pour l'attentat signal de lancement du génocide

La justice française a refusé d'aller au fond des choses, se contentant de rejeter les accusations contre l'entourage de Paul Kagame. Mais les véritables auteurs de ce signal de lancement du génocide des Tutsi courent toujours, sauf s'ils furent condamnés à Arusha pour autre chose. Un non lieu ! 1 C'est une affaire lamentable, qui n'a probablement pas encore permis de révéler tout ce qu'elle cachait. Quatre enquêtes 2 ont privilégié que les missiles furent certainement tirés depuis le camp militaire des forces gouvernementales du régime Hutu. Une seule enquête, celle du juge Bruguière, disait que c'était le FPR qui en était l'auteur, sans apporter aucune preuve matérielle, seulement  des témoignages qui se révélèrent arrachés dans des conditions plus que douteuses. Or des éléments matériels furent récupérés par une équipe française sur les lieux du crash dans les heures qui suivirent. Cette enquête Bruguière