La parole tue
L'institut François Mitterrand attaque Emmanuel Macron sur l’ambiguïté de son dédit lors de son discours en vidéo à Kigali. Rappelons que les médias avaient entendu et lu que le Président de la République allait dire « que la France, qui aurait pu arrêter le génocide avec ses alliés occidentaux et africains, n’en a pas eu la volonté ». Cette parole n'a pas été prononcée le jour J. Elle fut tue. Clairement les éléphants socialistes de l'institut François Mitterrand attaquent Emmanuel Macron sur l’ambiguïté laissée par cet incident. [1] Leur arrogance n'est un secret pour personne à commencer par celle de l’ancien secrétaire général de l’Élysée qui creuse ses tranchées depuis 30 ans avec sa "trompe énormément". Ils veulent maintenir la révision de l'histoire, initiée par François Mitterrand lui-même dans son discours à Biarritz le 8 novembre 1994, lorsqu'il a introduit l'idée négationniste d'un "double génocide." Ce concept sous